Fines herbes : conserves au sel et à l’huile

La mention « fines herbes sauvages » (sel et huile) figurant sur les étiquettes permet de bien différencier ce type de produit par rapport à d’autres (vinaigre, plantes séchées…)

Sont disponibles sous cette forme concentrée et particulièrement goûteuse : feuilles d’ail des ours et fleurs de poireau sauvage

Il s’agit d’une conserve traditionnelle au sel et à l’huile, sans cuisson, avec un traitement exclusif concentrant les saveurs et préservant ainsi toutes les qualités de la plante fraîche. Ceci n’est pas un pesto, prêt à manger à la petite cuillère ! C’est un concentré à ne pas utiliser pur car trop fort et salé. Economique, donc, et s’adaptant à de multiples préparations.

Trois points forts pour l’ail des ours :
1) Technique originale de concentration des arômes : les feuilles concentrées correspondent à 130 % des feuilles fraiches. Augmentation des arômes et réduction correspondant de la quantité de sel.
2) Exclusivement de l’huile d’olive pour une meilleure conservation (au regard du risque de rancissement d’autres huiles)
3) Infiniment mieux qu’un sel aux herbes qui contient dans le meilleur des cas 75 % de sel, donc à 25 % de plantes séchées (qui ont donc perdu de leur intensité gustative) ; ceci correspond donc à 75/25 = 300 % de sel alors que notre concentré n’en contient que 10 % !

Excellente base de sauces, de vinaigrettes, de marinades, sur des toasts beurrés, avec du fromage blanc, avec du chèvre frais (petites boules pour l’apéritif), mélangé à du beurre pour steak, sur des pâtes (chaudes ou froides en salade), dans une mayonnaise, pour aromatiser un gratin, pour accompagner un carpaccio (de viande, de poisson ou de légumes), pour parfumer une omelette, pour assaisonner un tartare de viande ou de poisson…

Vous pouvez faire une pâte à tartiner (ou à utiliser pour accompagner viande ou légumes crus ou cuits, ou pour garnir de petits feuilletés, ou pour les utilisations déjà mentionnées ci-dessus) : ajoutez alors un ou plusieurs des ingrédients suivants : poudre d’amandes, hachis de tomates séchées, olives vertes ou noires hachées, compote de fruits (pommes, fraises…), câpres, fromage sec genre parmesan, épices, noix de cajou trempées une nuit…

A noter que les fleurs de poireaux de par leur délicatesse qui n’exclut pas la puissance de leurs arômes (entre oignon et poireau cultivé) méritent d’être bien mises en valeur : sur un toast par exemple. En prime, les fleurs de poireaux contiennent déjà des bulbilles en formation (ovaire de la fleur), ce qui procure un léger croquant bien agréable.

La version d’ail des ours en poudre, moins piquante, permet un usage très facile et se conserve, bien sûr, plus longtemps. Les saveurs sont différentes et sont appréciées pour les préparations qui demandent de la douceur et du caractère à la fois.

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Fleurs de poireau sauvage Feuilles d’ail des ours
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Tartinade
avec les bulbilles de la fleur de poireau
Gigot d’agneau
et sa croute d’ail des ours + autres herbes

By Gerard