Dans la lignée de l’article « La lente dégradation des choses », voici encore une belle occasion de percevoir la beauté face à l’éphémère de la vie, ici d’une fleur qui s’ouvre en quelques dizaines de secondes, le soir, après le coucher du soleil et qui se fanera rapidement le lendemain. Il restera alors le souvenir tenace de son parfum enivrant et subtil à la fois. Merci onagre voyageuse qui a choisi tel ou tel recoin du jardin pour t’installer fièrement.

…………

Voilà l’illustration de ce que les japonais qualifient de « Mono no aware » : la Beauté est partout et tout particulièrement dans les manifestations de la Vie sur le déclin…

Et ci-dessous, le souvenir de sa beauté passée, d’il y a quelques heures à peine…

?…………………………………………………………………………

 

By Gerard